Et de 10...

Je me trouvais dans l'une des nombreuses rues de Londres... je n'avais aucune raison de me trouver dans ces rues si sombre et humide à première vue... en tout cas personne ne pourrais comprendre ma précense dans cet rue... Mais j'avais une excellente raison en fin de compte... en fait ce n'étais pas une raison... ce que je venais de faire dans cet rue, ne serais sûrement pas compris pas beaucoup de personne... mais une personne intelligente et observatrice découvrira bien vite ce que je venais de faire... en effet sur mes mains je tenais fermement un chiffon blanc afin de n'ettoyer le sang encore présent sur mes mains... eh oui, je venais de faire de commettre un nouveau meurtre... mais un comme les autres... en fait c'étais le dixième meurtre que j'avais commis dans cet ville... et avec les autres j'en arrivais à une trentaine... Je n'étais pas forcément fière de moi... je venais d'arracher la vie à une nouvelle personne sans qu'elle ne sâche pourquoi... Je soupira nettoya cet fois-ci mon poignard encore couvert de sang et le posa dans son étui... J'étais calme... très calme pour une personne qui venais d'accomplir un meurtre... certaine personne sont beaucoup plus émotive en accomplissant ce genre de chose... certaine peuvent pleurés, d'autres se mettront en colère... et d'autres ne ressentiront que de la joie... mais moi j'étais debout au millieu de cet ruelle... le corp de la personne que j'avais tué un homme d'une trentaine d'année environ étais couché sur le ventre... je l'avais sauvagement assassiné en lui tranchant la gorge... et son sang sortais de sa blessure... l'homme n'avais pas put voir son assassin, et de toute façon, il n'aurais sûrement pas eut le temps de se défendre... j'avais en effet accomplis de véritable miracle ces derniers temps... je n'étais plus le même... je m'étais durement entraîné afin de devenir plus fort et tué pour de bon mon ennemi... il y a environ, une semaine j'avais retrouvé l'assassin de mon père, et après avoir tué trois de ses hommes, je pouvais enfin lui planter mon poignard dans son corp et le tué une bonne fois pour toute... pour ensuite vivre à peu près normalement... mais j'ai échoué à cause d'un imbécile qui m'avais planté son couteau de cuisine dans l'épaule... me sentant soudainement très faible, j'avais quitté les lieux pour me reposer... et depuis ce temps, j'ai à nouveau perdu la trace de l'assassin de mon père... Je soupira repensant à tout cela et jeta le bout de chiffon à présent couvert de sang derrière-moi... et je m'approcha du corp... là, j'attrapa une couverture traînant par terre... une vieille couverture usé qui avais sûrement appartenus à quelqu'un qui déménagea en oubliant sa couverture par terre dans cet rue... à moins que ce ne soit le vent qui emportais cet couverture jusqu'ici... Donc, je posa la couverture sur le corp de l'homme sans vie... et peu après ça, je commença à réfléchir sur ce que j'allais faire à présent... Peut-être que je pouvais tout simplement rentrer chez-moi pour me reposer, mais je n'en avais aucune envie... en y repensant j'avais encore très envie de tuer quelqu'un... cet personne sera sûrement ma onzième victime avec un peu de chance...

Orione était là, assise au coin de la rue. Elle n'avait pas calculer que Christopher se trouvait là. Elle était aux abois, affamée, tout en gardant certains principes. Au premier abord, on se disait souvent qu'elle était une petite fille de seize ans sans défense...
Mais Orione était tout sauf ce genre de fille. Elle cachait un couteau dans sa manche et était tellement lunatique qu'elle en devenait imprévisible...
Elle portait son pull gris foncé trop grand pour elle, et son pantalon gris clair. Sa coiffure avait seulement changé. Elle n'avait pas les cheveux lachés, mais remonté et, comme toujours emmelés parce qu'elle avait oublié son peigne chez elle. Mais jamais elle ne retournerait chez elle. Non, elle ne reviendrait pas sur sa déscision de la quitter puisque les gardiens de l'asile l'attendrait certainement.
Elle n'avait jamais tué personne, mais avait déjà menacé de mort un camarade de classe au primaire et, maintenant, elle était assez "folle" pour commetre un meutre... si elle en avait la force.
Non, elle n'avait pas vu Christopher, ne l'avait pas calculé... Et elle était surement trop fatiguée pour tourner la tête et le voir, en train de nettoyer son poignard...
Mais Orione n'en avait plus la force...
Elle vivait...
Elle voulait vivre...
Elle était incapable de mourir...
Mais lui, il serait capable de la tuer... Elle... la petite de 16 ans...
Mais le ferait-il?
Encore aurait-il fallu qu'elle le voye...
Mais elle restait là, dans la rue, regardant le sol d'un regard de fille "habitée", en souriant.
Mais, plus tard, elle entendit des pas. Elle était sur ses gardes... Enfin... sur ses gardes... Elle regardait le ciel, les alentours, la bouche très légèrement ouverte, faisant attention au moindre petit bruit... Même si cela ne se voyait pas...